Depuis la fin des années 60, l’État Portugais nous a vendu le vaccin comme une véritable assurance contre les maladies graves et, au fil du temps, a façonné notre conscience comme un fait accompli:
“La vaccination est un droit et un devoir de citoyenneté “.
Par conséquent, il nous oblige à prendre deux vaccins (la diphtérie et le tétanos) et recommande un plan de vaccination qui, à son avis, garantis la santé de chaque citoyen et protège la communauté.
Rien que pendant la première année de la vie d’un enfant, l’État Portugais recommande que 17 vaccins soient donnés (dont deux qui sont obligatoires) contre 11 potentielles maladies. Cette recommandation est également suivie par d’autres pays du monde. Une politique qui a amené l’Organisation Mondiale de la Santé à se féliciter d’avoir évité au moins 10 millions de décès entre 2010 et 2015.
Mais il y a un côté plus sombre des vaccins que les autorités refusent de parler et qui soulèvent de nombreux doutes:
Les vaccins sont-ils sûrs à 100%?
Pourquoi les ingrédients et les composants des vaccins ne sont-ils pas divulgués au consommateur de manière claire, transparente et concise?
Existe-t-il des dommages irréversibles, immédiats ou différés causés par les vaccins?
Et y a-t-il des morts?
Qui compte les victimes des vaccins?
Et sur le plan vibratoire, qu’arrive-t-il à un enfant après sa vaccination?
Puis-je décider de ne pas administrer de vaccins à mes enfants?
L’école peut-elle rejeter un élève qui n’est pas été vacciné?
Est-il légitime que la société condamne l’option de ne pas vacciner, alors même que la Constitution Portugaise consacre ce droit?
Ce sont des questions que nous allons ensuite analyser dans ce texte et dans des textes associés, mais il appartient à chacun de décider du mieux pour soi-même et pour sa famille.
Les vaccins ne sont pas sûrs à 100%
La Direction Générale de la Santé, une agence dirigée par le Ministère de la Santé, indique sur son site internet, dans sa brochure “Foire aux questions sur la vaccination”, qu’ “après tant d’années d’expérience et de millions de vaccins administrés dans le monde entier, on peut dire que les vaccins présentent un haut degré de sécurité, d’efficacité et de qualité”.
L’État Portugais assume implicitement qu’il n’existe pas de vaccins sûrs à 100%, mais les autorités n’hésitent pas à recommander et à plébisciter un vaste plan de vaccination: jusqu’a 10 ans. Au Portugal, il n’y a que deux vaccins obligatoires: la Diphtérie et le Tétano (décret-loi n ° 44198 du 20 février 1962), et 15 autres recommandés dans le cadre du plan de vaccination national qui, s’il est pleinement respecté, signifie qu’un enfant jusqu’à ses 10 ans subira au moins 30 piqûres, car il existe des vaccins divisés en plusieurs doses.
“C’est comme verser un seau d’eau de Javel dans le corps d’un enfant qui vient de naître”, explique une arrière-grand-mère qui préfère l’anonymat. Isabel, un nom fictif, avoue qu’elle aussi était un enfant sur le point de mourir en raison d’une réaction indésirable à un vaccin. “À l’âge de deux ans, une semaine après ma vaccination, je suis tombée si malade que j’ai perdu mon élocution et arrêté de marcher. Je ne me suis remise que six mois plus tard. À ce moment-là, mes parents ont décidé de ne plus me faire vacciner. Aujourd’hui, j’ai plus de 70 ans, beaucoup de cheveux blancs et une famille qui arrive à sa quatrième génération, et je continue à ne pas conseiller la vaccination à qui que ce soit”.
Comme Isabel, de nombreux parents au Portugal décident, pour des raisons de santé, de dire non aux vaccins. Selon les autorités, environ 5% des bébés ne sont pas vaccinés.
L’autorisation et la surveillance des vaccins au Portugal relèvent de la responsabilité de l’Autorité Nationale des Médicaments et des Produits de Santé (Infarmed), qui n’a jusqu’à présent jamais détecté, ou du moins rendu public, de lien entre les cas de décès survenus après l’administration de vaccins. Mais Infarmed a déjà été contraint de suspendre de nombreux vaccins plusieurs fois.
Le côté sombre des vaccins reste encore caché au Portugal, bien que des informations selon lesquelles des bébés soient mort après la vaccination (Setúbal, vaccin méningocoque du type B ou Loures) et que de nombreuses femmes enceintes ayant perdu leur bébé après la vaccination (un des derniers cas était contre la grippe A à Portalegre), mais la Direction Générale de la Santé garantit qu’il «n’y a pas d’effet indésirable» entraînant la mort ou d’autres blessures graves.
Les signaux d’alarme apparaissent également dans plusieurs pays:
Chine, Brésil, Philippines, parmi tant d’autres (voir également les liens ci-dessous).
Et puis, il y a d’autres vaccins comme celui contre la grippe: entre 2016/17, 1,3 million de personnes de plus de 65 ans ont été vaccinées (soit 67% de l’univers, voir le rapport), et pourtant plus de 4 500 personnes sont décédées, en sachant que la grande majorité avait plus de 64 ans (lisez ici l’article).
Les Portugais n’ont pas le droit de connaître la marge d’erreur des vaccins et quels en sont les dommages?
Et si dans ce pourcentage il y aurait votre enfant?
Jusqu’à quand le tabou sur le côté sombre des vaccins va-t-il continuer?
On craint fortement de discréditer le prétendu succès des vaccins et c’est pourquoi il devrait être préférable de cacher leurs méfaits?
Les doutes sont plus que nombreux pour mettre notre santé et celles de nos proches, et encore moins la vie, entre les mains des autres. La décision appartient à chacun, mais sachez qu’il n’y a pas de vaccins 100% sûrs.
Sachez-en plus sur la vaccination sur:
France: Berceau des vaccins est où la peur d’insécurité est la plus vive
La Suède est contre les vaccins obligatoires
Les États-Unis d’Amérique assument qu’aucun vaccin n’est totalement sûr
Pourquoi donner l’immunité aux pharmaceutiques?
La Constitution portugaise prévoit-elle le droit de ne pas être vacciné?
Puis-je refuser de vacciner mes enfants?
L’école peut-elle rejeter un élève qui n’a pas de vaccins?
Renforcez votre conscience sur:
Vaccins, un génocide planétaire – Dr Christian Tal Schaller
Vaccination, social violence and criminality – Harris Coulter
Vaccination, l overdose – Sylvie Simon
https://www.youtube.com/watch?v=Oi8HGQqWT7I
http://pryskaducoeurjoly.com/actu/1963/les-vaccins-ont-ils-vraiment-eradique-les-maladies-enquete
https://www.dinheirovivo.pt/DVMultimedia/empresas/farmaceuticas/infografia/index.html
http://www.jornalstop.com.br/danos-causados-pelas-vacinas/
http://yournewswire.com/harvard-unvaccinated-children-risk/
https://www.facebook.com/125111167608937/videos/1170898716363505/
https://www.facebook.com/kelly.oliveira.315080/videos/616444268453007/
https://www.youtube.com/watch?v=snEknNLtd8k
https://www.youtube.com/watch?v=hZiSZjp6440
http://pt.euronews.com/2017/05/20/italia-aumenta-para-12-o-numero-de-vacinas-obrigatorias
http://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/esm.02.01.00185-pt
http://expresso.sapo.pt/sociedade/2016-06-16-Vacina-BCG-vai-deixar-de-ser-dada-a-todas-as-criancas
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