L’énergie qui fait vibrer les atomes, les cellules et l’univers

Photo de Okan Caliskan sur Pixabay.     Tout est en perpétuel mouvement et en vibration, et tout est énergie, comme l’ont prouvé des scientifiques en laboratoire.

“Rien n’est immobile; tout bouge; tout vibre.” Telle est la loi de la vibration qui, selon les anciens pharaons d’Égypte, signifie qu’allant
des atomes,
cellules (dans notre corps il y a environ 100 milliards de cellules),
les humains,
les animaux,
les légumes,
métaux,
les planètes,
systèmes solaires,
galaxies,
ou macrocosmes,
tout est en perpétuel mouvement, vibration et tout est énergie. Et il n’y a pas que la matière, les pensées et les sentiments tels que les émotions, les envies, les désirs, l’amour, la colère, entre autres, sont transmises par le biais de fréquences de vibrations énergétiques qui peuvent se manifester sous forme d’échelles de son ou de ton.

C’est cette certitude qui a conduit, au cours des siècles, de nombreux scientifiques à élaborer des théories sur les éléments constitutifs de la matière (atomes et particules subatomiques) et à les prouver en laboratoire.

L’un des derniers exemples majeurs s’est produit en juillet 2012, avec la détection des signaux du boson de Higgs, via le grand accélérateur de particules (LHC) du Laboratoire Européen de Physique des Particules (CERN), situé près de Genève, en Suisse.

Une confirmation qui survient environ 50 ans après la publication de la théorie du boson de Higgs.
C’est en 1964 que François Englert, de l’Université libre de Bruxelles, et d’une part, son collègue Robert Brout (aujourd’hui décédé), et d’autre part, le Britannique Peter Higgs, de l’Université d’Édimbourg, ont publié séparément, mais en même temps, la théorie de l’existence de la particule subatomique connue par le boson de Higgs.
C’est une particule présente dans tout l’espace et c’est en interagissant avec elle que les autres particules subatomiques de l’atome acquièrent leur masse, comme le prévoit le modèle dit standard de la physique des particules, qui décrit la composition, au niveau subatomique, du monde qui nous entoure.

Cette confirmation en laboratoire a conféré à Englert et Higgs le prix Nobel de physique en 2013, car elle a permis d’achever la distribution des particules fournie par le modèle standard.
En pratique, c’était une autre étape pour tenter de comprendre ce qui s’était passé il y a 14 milliards d’années, lorsque l’antimatière a disparu à la suite du Big Bang, il constitue également une passerelle vers l’analyse de la nature de la matière obscure, qui représente environ 30% de l’univers.

Mais pour prendre conscience de l’importance de cette confirmation en laboratoire, il est conseillé de remonter un peu dans le temps.

Ce n’est qu’au début du XXe siècle que nous avons compris comment étaient constitués les atomes à l’origine de la matière. Nous avons parlé de la découverte du noyau atomique (où se trouvent les protons, les neutrons et où la force électromagnétique relie les électrons). On sait maintenant que les particules sont divisibles, contrairement à ce que l’on pensait depuis de nombreuses années, en particules subatomiques et que celles-ci sont également divisibles.

Photo de Gerd Altmann sur Pixabay.     Une simulation en laboratoire du soi-disant Big Bang, lorsque l’antimatière a disparu.

 

 

Sachez-en plus sur l’énergie sur:

Qu’est-ce qu’un atome?

 

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